Un des cadrans les plus célèbres du département d'Eure et Loir est celui de "l'ange au cadran", porté comme son nom l'indique par un ange sur l'un des contreforts du transept de la cathédrale. Ce cadran méridional est en fait une copie d'un cadran datant de 1578. La quatrième heure est notée IIII.

Une méridienne est également visible sur la partie Sud de la cathédrale. Du fait qu'elle soit construite dans le même matériau que la paroi et que la peinture ait disparu, elle reste discrète. La table de la méridienne est reconnaissable lorsque son style a été repéré.

De restauration récente, ce grand cadran du matin orne le pignon donnant sur la cour du lycée Marceau, rue de l'âne rez. Il n'est pas visible de la rue.

Situé au-dessus du précédent sur le même mur, aucune inscription n'accompagne ce style à œilleton.
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A l'intérieur de la cathédrale, transept sud, au solstice d'été, le rayon de soleil passant par le trou du vitrail, éclaire le clou de cuivre planté sur le pavé. Nous devons cette curiosité au chanoine Etienne, féru de physique et d'astronomie
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Situé dans l'encoignure d'un pilier de l'église, ce cadran méridional orienté est de forme circulaire. Bien que très âgé (l'année 1554 est gravée sur sa partie supérieure), il est fonctionnel car toujours pourvu d'un style. Les heures sont gravées en chiffres arabes.
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L'église comporte deux cadrans canoniaux ainsi que de nombreuses épures.

Les deux cadrans dominants sont très délavés, recouverts de lichen et démunis de leur style.
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Voici une des rares méridiennes du département. Bien que recouverte de lichen, elle peut encore indiquer l'heure de midi ainsi que dessiner l'équation du temps au travers de l'orifice de son œilleton. Sa table est légèrement inclinée pour faire face au sud.
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Une magnifique et grande fresque peinte sur la totalité de la façade d'une maison particulière à Illiers-Combray, prétexte à l'intégration d'un cadran solaire dans un paysage de plaine, à l'effigie de Marcel Proust. Ce cadran original est de type vertical déclinant de l'après midi.
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Gravés sur l'une des pierres de l'église, ces deux cadrans sont erronés du fait des angles égaux qui séparent chaque ligne horaire. Aucune heure n'est inscrite et les styles sont absents.
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Le cadran solaire situé à droite d'un vitrail de l'église est un vestige de grand cadran méridional: son style est absent et sa table part en décrépitude.
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Un cadran est visible sur une tour du château de Levesville. Comme il est construit directement sur le mur de la tour cylindrique, ce grand cadran a sa table de forme convexe.
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Situé sur une maison privée, au 28 de la rue de la Ferté. Les heures, les lignes, le fond et les motifs sont peints. C'est un cadran vertical du matin.

Une des rares méridiennes du département se trouve rue Saint Pierre. L'année 1738 figure en haut de la table mais les enluminures, les inscriptions et le blason (récemment repeints) sont postérieures au XVIII^ième siècle. La table est légèrement orientée, ce qui explique l'inclinaison de son style qui doit toujours regarder le nord.
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Ce beau et grand cadran est visible dans la rue principale, sur la façade d'une maison particulière. Le temps a quelque peu délavé la table. Le style est tordu et devrait être légèrement incliné pour ce cadran de l'après-midi.
La récente rénovation du cadran met maintenant en valeur la table et le nouveau style muni d'un œilleton.
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Disposé dans un angle du chevet de l'église, ce cadran méridional fait face au sud. Il ne manque que le style pour que ce cadran, daté, soit de nouveau fonctionnel. Le chiffre quatre est noté IIII et non IV.
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Ce grand cadran est plus une œuvre d'art qu'un objet fonctionnel compte tenu de l'absence de lignes horaires. La table est constituée d'une mosaïque de carreaux peints.
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Bien que de série, ce petit cadran est bien en place sur le pignon de ce pavillon situé dans le lotissement au nord du village.
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Ce grand cadran est situé sous la pendule. Seule la table subsiste.
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Ce cadran est situé sur la façade Sud de l'église de Bailleau-Armenonville, entre deux vitraux. La table de belle taille fait apparaître les lignes horaires et l'encadrement mais l'ensemble de ce cadran méridional est très érodé.
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C'est dans la partie supérieure d'un pignon de l'église que l'on peut observer ce cadran méridional. Plusieurs dates figurent sur la façade ainsi que sur le haut du cadran. Le style est plein et les inscriptions (lignes et heures) à peine marquées.
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Ce cadran de taille moyenne est encastré dans la partie haute d'un contrefort Sud de l'église. C'est un cadran méridional orienté où seules les lignes horaires sont gravées.
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